J'ouvris les yeux. Encore une journée qui commençait. Encore un risque de rencontrer l'un de ces sécrélat. Je les déteste. Ce sont tous des manipulateurs de première. Et en plus, j'avais le pressentiment que j'allais en rencontrer un aujourd'hui même. Mais je ne voulais pas que ça arrive. Je devrais encore essayer d'être polie, d'écouter leur monologues incessants. Fremant à nouveau les yeux, j'essayais de m'endromir à nouveau. Plus tard je sreais debout, plus tard je rencontrerais ce que je ne veux pas. Mon ventre se mit à gargouiller. Pfff, je ne pouvais donc jamais dormir TRANQUILLE ? Ouvrant à nouveau les yeux, je me leva et m'étira. Tout à coup, un rat bien dodu passa sous mon nez. Quelle chance, j'allais pouvoir me nourri sans chercher trop longtemps ! Partant à sa poursuite sans attendre, je salivais déjà du repas qui m'attendait. Enfin je réussi à l'achever, au bout d'environ cinq minutes. Le fixant, je me dis que je n'en aurais pas assez. Recommençant ma traque je trouva rapidement un second rat, que j'ammena près du premier. Mais cette petite chasse me plaisait alors je repartit à la recherche d'un troisième. Ce lieu était rempli de rats ! Ce ne fut qu'un quart d'heure après, épuisée par ma quete, que je dégusta mon premier rat. J'avais assez de nourriture pour deux chats affamés, et je savais que je me passerais bien du troisième, bien qu'ils soient délicieux. Si quelqu'un me le demandais, j'accepterais peut-être de le lui offrir, mais il n'y avait personne, heureusement. Enfin, c'était ce que je croyais. Prenant mon troisème rat, je partis à la recherche d'une cachette. Mais voilà qu'un de ces satanés chats se trouvait non loin de moi. Frémissant de colère, je posa ma proie et le fixa froidement. N'étant pas de trop bonne humeur, je le chargea, menaçante. Il disparut rapidement, à mon grand soulagement. Retournant prèsde ma chère nourriture, je me remis en route. Mais je remarqua qu'n autre chat m'observait. Posant à nouveau ma proie, j'hésita à le chasser, la chasser, plutot, car c'était une femelle, ou la laisser plantée là. Je choisis plutot de m'assoir près du rat en la fixant tout aussi méchament que l'autre. je n'avais franchement envie de rencontrer personne. Mes poils hérissés, je continuais à la considérer. Il valait mieux ne pas l'attaquer, si je ne voulais pas déclencher une guerre. Attaquer, enfin envoyer balader deux chats en trois jours ça faisait un peu beaucoup, à mon avis. Je me mis à trembler de colère, voyat l'animal restant à sa place. Qu'elle viennesi elle voulait me voir, car elle n'avait aucune chance que ce soit moi qui me dérangea pour elle. Et voilà que ma faim commençait à reprendre, bizzarement. J'aracha alors un bout de peau à mon rat et le machouilla, fixant toujours la femelle d'une froideur incomparable. Je n'étais pas du genre accueillante, à cause de devinez qui ? Les chats, les autres chats. C'étaient tous des sales menteurs, sécrélats, hypocrites, manipulateurs, faux amis, bluffeurs, vantard, égoïstes et tout le tralala. Ils m'ont tous rejetés alors que je n'avais rien fait de mal. Je cracha à ces pensées, puis me repris. Là, je ne regradais la chatte, mais mon rat, que j'étais en train de dévorer. J'avais trop faim. A vrai dire, je n'avais pas mangé depuis un jour entier, ayant peur de rencontrer l'un de ces...ces monstres.