Spoiler:

Plume de Fougère dormait comme une marmotte qui hiberne pendant un froid glacial. Seulement, cette saison la était révolu. Plume de Fougère aurait bien aimer rester un peu plus longtemps dans son nid douillet, dans la tannière des guerriers. Mais elle ne pouvait pas. Il fallait qu´elle aille chasser. Voilà son devoir en tant que nouvelle guerrière. Elle était contente que plus personne ne puisse lui donner des ordres! Enfin, facon de parler, pensa t-elle. Le chef et le lieutenant, et encore quelques guerriers. C´est pas comme si j´étais complétement libre mais c´est pas comme si j´étais complétement sous les ordres de quelqu´un. Elle consenta à se lever avant de bien s´étiré! Toujours s´étiré le matin! Pas oublier! C´est ce que Maman me disait toujours... Je vois pas pourquoi d´ailleurs. Elle se souvint alors de sa mère chaleureuse, sa mère, si tendre avec elle, sa mère qu´elle aimait tant! Sa mère, qui était morte. Il ne fallait pas qu´elle y pense! C´est la vie, elle n´y pouvait rien. Elle réfléchissait, debout, à la vie. Puis elle regarda dehors. La saison des feuilles nouvelles étaient arrivée! Tout le monde avait l´air actif et joyeux. Pourtant, en elle, elle ressentit un vide, une tristesse infinie, qui ne semblait pouvoir s´effacer.

[ Je peux m'incruster ? Même si c'est pas dans mon clan ? xD ]

[Désolée du retard Le chat tigré de ta signature (celui de droite) ressemble à mon chat, ]

Errer, découvrir chaque jours un nouvel endroit, voilà ma raison de vivre, ma raison de penser. Et surtout, ma raison d'être. Tous les jours, je pars dans une direction qui m'est inconnue, pour découvrir un lieu plus ou moins beau. Il m'arrive souvent en ce moment de rencontrer l'un de ces sales hippocrites que sont les chats. Les autres chats. Je n'ai trouvé que deux exeptions à la règle, mes parents adoptifs. mais ils m'ont quand même abandonnés à leur tour à cause de leur vrais chatons, d'autres menteurs, manipulateurs. Comme par hasard. Je les hais tous. Ils ne méritent tous la confiance de personne. L'amitié de personne. Il ne méritent même pas de vivre. M'enfin, je ne suis pas le clan des étoiles, et e ne peux rien y faire. Tout en continuant à avançer de la sorte, je remarqua un chat, puis un autre, qui ne me regardaient même pas. A vrai dire, la plupart des chats disent que je suis discrète, tellement discrète qu'on ne me remarque pas. Toute façon, je m'en fiche, vu que ce sont tous des ingrats. Je décida de faire demi-tour, sachant que je devais surement me diriger vers l'un des clans. Je n'avait envie de parler à personne, aujoud'hui. En fait, je n'en avait jamais envie. M'avançant sur un autre sentier, je n'essyais même pas de deviner où j'allais. Trouvant une petite flaque d'eau, j'en profita pour boire de nombreuses gorgées avant de partir à la chasse. Ayant quitté récement le clan de l'ombre, j'étais libre comme l'air. Personne à qui obéir. J'étais solitaire. Pas comme ces autres chats qui préfèrent écouter les ordre de chats encore plus vaniteux qu'eux-mêmes. Des hypocrites, comme je dis. Finalement, je n'avais pas trop faim. Continuant à marcher, du haut de mes petites pattes, sur le sentier, je découvris avec dégout qu'il m'ammenait lui aussi au même clan que tout à l'heure. Regardant à l'intéireur du creux, je remarqua de nombreuses tanières, et plein de..... chats (ce mot me dégoutte, même si j'en suis un). Je cru voir une chatte, tigrée elle aussi, selon moi, me regarder. Détournant les yeux, je fis demi-tour en grommelant. Me retournant à nouveau, j'espérait qu'elle ne vienne pas à ma rencontre. J'escalada alors tout en haut de l'un des arbres se trouavnt atour du creux et me coucha sur l'une des branches solides. Je n'avais pas envie de faire demitour tout de suite, je voulais me reposer un peu avant. Et mmmmhh, que cette branché était confortable ! Fermant les yeux, je ne surveilla plus la chatte, persuadée qu'elle ne me trouva pas. A moins qu'elle ne pense à grimper sur cet arbre. Mais si elle voulait me parler et qu'elle m'appelait, je serais bien forcée de descendre, par politesse. Je n'ai pas envie non lus qu'on me prenne pour une espionne !

[Pas grave ]

Ayant vut un inconnu roder près de son camp, Plume de Fougère se sentit obligé d'aller à sa rencontre. A quoi il pensait celui-là? Qu'il allait s'en tirer comme ça? Et puis quoi encore! Heureusement, il n'avait ni l'odeur du clan de la rivière, ni celle du vent ou encore de l'ombre. Quoi qu'elle n'en était pas sûr pour ce dernier. Elle sortit de sa tanière pour aller rejoindre le solitaire. Ou un chat domestique, qui sait? Ce qui serais tout de même étonnant. *Ils ont trop peur de nous pour venir dans la forêt et encore plus près d'un camp.* Elle ne le vit pas, mais décela son odeur, puis, grimpa sur l'arbre et se percha sur l'une des branches de l'arbre et appella le matou...

[ Mais d'ou vient la photo de ce chat ? C'est fou comme il ressemble parfaitement au miens xD ]

Arg, saleté d'odeur ! La chatte m'a repéré. Et elle m'appelle, en plus, celle là ! A contrecoeur, je m'avança vers elle, les poils légèrement hérissés sur mon dos. Une fois à ses côtés, je restais à la fixer, le regard impassible. Puis, n'en tenant plus, je lui parla.

Face à elle, je restais parfaitement immobile, bien que prête à m'élançer sur le sentier en cas de problème - selon mes critères (envie folle de tuer cette chatte, les pattes qui démengent, les insultes coinçées dans la gorge, ou encore monologue + manque d'innatention envers moi de celle-ci etc...) Mes yeux montraient mon impatience, et laissait deviner que il y avait quelque chose qui m'agaçait.

Spoiler:

Pourquoi pas? répondit Plume de Fougère en haussant les épaules. Un regard noir du chat lui fit comprendre que son humour n'était pas des plus drôles. Tu es sur le territoire du clan du Vent. Sans aucune raison puisque apparemment tu ne fais partie d'aucun clan -ce que je ne comprends pas au passage- et que tu es seul. Que veux tu? Ou peut être vien tu tout simplement nous espionner, feula t-elle.

[ et tu as tapé quoi ? =) parce que le miens à disparu depuis octobre, alors si c'est quelqu'un qui l'a retrouvé et pris en photo, j'aurais encore un petit espoir de le revoir...]

C'est bien ce que je me disait. Elle croyait que je les espionnais. Posant de nouveau mon regard colérique sur elle, je lui répondis sêchement :

Entre temps, j'avais haussé le ton, ennervée. C'est une des phrases les plus longue que je n'avais jamais dite, mais là, j'étais enragée. Maintenant, on n'a même plus le droit de se prommener sans qu'eux se rammènent. La fusillant à nouveau du regard, figée sur place, machoires serrées, j'attendis sa réponse. Enfin, je n'en eut pas la patience et grimpant plus haut dans l'arbre, j'observais sa réaction. Je voulais me reposer, et elle, elle fait sa petite chef. Haussan les sourcils, je me permis un petit sourire en coin. Ils ne sont vraiment pas nets, ces chats. Dès leur réveil, il faut qu'ils disputent quelqu'un.

[ooh. Désolé. Je crois que j'ai tapé chat fourrure écaille de tortue. Un truc dans ce genre]

Intérieurement, Plume de Fougère était en rage. Mais elle était bien deçidé à ne pas le montrer. Après tout, c'est peut être ce qu'il voulait. Elle était bien déçidé à suivre le chat. Ce qu'elle fit. De un, je n'y suis pour rien, je ne te connais même pas, répondit-elle, calmement. De deux, je n'ai pas dit que tu ne le savais pas. De trois, oui, c'est sûr tu n'aurais aucune raison. Mais tout le monde dit ça. Comment être sûr que c'est vrai? Nous vivons dans un monde où tout le monde ment. Comment savoir en qui on peut avoir confiance? le questionna t-elle, souriante, comme à son habitude, mais d'une voix un peu plus affermie. Quelles sont tes origines, demanda t-elle, soudain, d'une voix très douce et réjouissante, toute amertume évanouie. Puis elle commença à se lécher attendant la réponse du solitaire. Elle se posait des questions. Pourquoi vient-il ici? Quel est son bute?

[ Ok merci je verrais bien Ce n'est pas te ta faute s'il a disparu:| ]

La troisième phrase résumait exactement que je pensais chaque jours.Je lui réponds, les yeux baissés, marmonant dans ma barbe.
" Exactement. "

Au moins un point sur lequel on était d'accord. Mais bientôt, la femelle me sortis une phrase que me fit craquer. Je soufflai un bon coup pour m'empêcher de pleurer, et, la regardant à nouveau, sur un ton sans expressions je lui dis :

" Je n'en sais rien. "

Avant même que j'eusse ouvert les yeux j'avais été abandonnée par ma mère, je ne risquait pas de savoir qui étaient mes parents... Sans même le remarquer, je répondais enfin normalement à cette femelle, avec des phrases courtes. En effet, son avant-dernière phrase m'avait rappelé tout ce que j'ai vécu et emporté à nouveau dans mes pensées noires et tristes. Je ne savais pas à quoi ressemblait ma famille biologique, et j'avais presque oublié ma famille adoptive, à cause de ces saletés de demi-frères et soeurs.... Grr, si je pouvais les.... les.... Non, je ne dois pas dire ça, c'est mauvais. C'est mon destin, ma vie, et je n'en ai pas le choix. Autant le suivre, il y aura bien un jour où tout se calmera. On ne peut pas le fuir, de toute façon. Mordant mes lèvres, je tentais l'impossible pour ne pas me noyer dans des larmes inutiles. Et je réussi. Ouf, je ne voulais pas passer pour une faiblarde sensible au moindre mot...

Ansi elle parlait de mon ancien clan ? Bouarf, je n'y était resté que quelques jours, mais je lui répondit quand même.

" De l'Ombre. "

Mais c'est qu'elle s'en fiche celle là ! Et elle veut me revoyer, maintenant. Non mais qu'est-ce qu'elle croit, celle là ? Que je vais lui obéir ? je suis libre, je fais ce que je veux. Alors qu'elle desendait de l'arbre, je lui répondit sèchement :

" M'en fiche de vos règles. Je ne bougerais pas. "

Je restai plantée sur mes quatres pattes, fixant mon interlocutrice encore plus méchament. Puis je fis demi-tour, me cachant derrière des feuilles de l'arbre. Enfin, discrètement, mon odeur cachée par celle des feuilles qui m'entouraient, je grimpa tout en haut de l'arbre, me blottit dans une grosse touffe de feuilles bien vertes et l'observa de là, sans bouger, sans aucun bruit. Je voulais d'abbord me reposer avant de repartir. Et je n'avais pas de chef, alors elle pouvait toujours rêver que je lui obéisse !